spectroscopie et modèle probabilistique

Hum, je recommence le message.
J'avais écris un message très beau et long expliquand à la perfection mon problème, mais le bouton envoyé m'a amener sur une page d'erreur et m'a donc tout effacé ce que j'ai écrit...

Bonjour,
J'espère qu'il y a encore des gens répondant au question à l'heure qui est là.

Mon problème est que lorsque l'on utilisait le modèle de l'atomes de Bohr, il était facile de comprendre que l'énergie que libérait un électrons lorsqu'il passait d'une couche à l'autre était avait une quantité bien précise.

En utilisant hf = E2-E1 nous pouvions savoir très précisément la fréquence du photons émis.

Cependant, lorsque plus tard nous entrons dans le modèle probabilistique, nous avons encore ces différent niveaux, les couches, mais les atomes sont disposé probabilistiquement sur ces couches. Leurs emplacement tend vers une mesure central mais il suit une courbe de distribution.

Ma question est : Si les électrons sur les différentes couches ont une disposition probabilistique au lieu de précise, ne devrait t'il pas produire des raies imprécises lorsque leurs électrons se déplace d'un niveau à un autre? Les électrons qui sont le plus éloigné du noyau sur la courbe de probabilité ne devraient-ils pas libérer un peu plus d'énergie en se rendant à un autre niveau qu'une particule plus rapproché?

Merci,

Je me croise les doigts pour qu'ils y ait encore des gens sur le forum même à cet heure.

J'oserais croire que le modèle doit répondre à ce qui est expérimenté... dans ces conditions, il doit aussi s'agir de raies définies. Tu parles des orbitales et des trucs du genre qui ne sont pas compris dans le paquet de feuille, right?

De tout façon Belval, aller aussi loin dans le modèle probabilistique me semble un peu poussé. C'est un peu comme le ESP de micro ça lolllll !

Pour ce qui est dans le paquet, la fonction d'onde défini la répartition des photons lors de l'expérience de Young alors vite comme ça j'arrive pas trop à l'associer au niveau d'énergie...

En fait, il y a plusieurs fonction d'onde qui ont été émise. Pour expliquer bien des trus.

Celle auquelle je réfère c'est c'elle qui est expliquer dans le chapitre 11. Je ne l'inscrirai pas parce que je ne crois pas que ca l'ajouterais quelque chose à l'explication. Cependant, le tout peut être résumer à si tu va voir la figure 11.5 p.336. La figure de densité de probabilité radiale. Un des super usage de la fonction (Psy).

De toute facon, je pense effectivement que je m'attarde trop sur un problème qui peut paraître insignifiant. C'est peut-être plus pour moi que pour l'examen.

Sinon, je me suis dit que si l'on pouvais noter un dédoublement des raies lorsque l'on observe d'assez près, peut être que le modèle probabilistique ne change quelque chose qu'au centième de nanomètre? Ce serait, selon moi, illogique mais au moins ça l'expliquerait.

Ou peut-être est-ce une réponse du genre, il emêt cette quantité d'énergie parce qu'il ne peut pas faire autrement .

Content de voir que je ne suis pas le seul debout

Edit: Pour l'ESP, Catherine c'est vrai que j'ai vraiment été charognard. J'en ai beaucoup trop mis mais il y a beaucoup de mes pages qui ne contienent que des dessins et pas de matière. Faut pas oublier que j'ai été seul pour le faire... L'esp de Maxime Lavigne et de Simon lui est vraiment de qualité, ils ont été complets et ont genre 60 pages pleines d'information constructives...

Je vois...

après m'avoir tapé une lecture complète de 9-10 y'a une semaine et demi j'ai laissé tomber le 11 lolllll.

Je peux pas t'aider pour ça, mais je suis sûre que c'est pas à l'examen.
Pense pas à ça toute la nuit et demande à JM demain après l'exam... je suis sûre
que ça va lui faire plaisir de te transmettre le feu sacré une dernière fois .

physique forever lollll

je vais me coucher moi
bonne nuit

C'est une bonne question mais effectivement qui dépassait ce qu'il y avait à étudier pour l'exemen. Surtout que d'avoir étudié trop taw....

Mais pour revenir sur la question; c'est vrai que la distance entre le noyau et l'électron devient une fonction de probabilité qui ressemble plus à un nuage, donc la POSITION n'est plus très bien définie. C'est vrai aussi que si l'électron s'éloigne du noyau, il faut qu'il perde une certaine quantité de mouvement, donc sa VITESSE n'est plus très bien définie non plus. Par contre, son ÉNERGIE TOTALE à l'électron, elle, peut être sacrement bien définie. Alors la différence d'énergie entre deux niveaux est bien précisément connue. C'est ça qui détermine la fréquence, donc la longueur d'onde du photon émis.

Bonne vacances à tout le monde!

JM